|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]
|
|
|
|
Hadopi : merci JPE !
29/04/2009 16:25
Jean-Pierre Enjalbert, tête de liste de Debout la République en Ile-de-France pour les élections européennes, s’est symboliquement constitué prisonnier, mercredi 29 avril, dans un commissariat du Val d’Oise au nom de ses administrés qui pratiquent le téléchargement illégal sur internet. Pendant que les eurodéputés sortants de l’UMP essaient d’empêcher au Parlement européen l’adoption de "l’amendement Bono" (qui rendrait illégal l’Hadopi en France), NDA et les candidats DLR aux européennes multiplient les actions contre le texte liberticide et rétrograde voulu par Nicolas Sarkozy.
Internet : un maire du Val-d’Oise se constitue prisonnier contre le projet
29/04/2009 07h49 GMT - ASSEMBLÉE-INTERNET-CULTURE-MUSIQUE-POLICE-IDF-INSOLITE - Nouvelles de France - AFP
CERGY, 29 avril 2009 (AFP) - Le maire de Saint-Prix (Val-d’Oise), Jean-Pierre Enjalbert (Debout la République), s’est rendu mercredi dans un commissariat pour se "constituer prisonnier" au nom des administrés "qui ont déjà téléchargé sur internet".
Il entend ainsi dénoncer "l’absurdité" du texte contre le téléchargement illégal.
L’édile s’est rendu mercredi peu après 09H00 au commissariat d’Ermont, a annoncé son entourage. Il a demandé à être fait prisonnier comme "représentant" de tous ses "administrés qui ont déjà téléchargé sur internet et qui ne sont pas des bandits", comme il l’avait dit mardi à l’AFP.
Entendu par le commissaire, le maire de Saint-Prix, une commune de 7.200 habitants, est sorti libre du commissariat quelques minutes plus tard, a précisé son entourage.
Rejeté le 9 avril à l’Assemblée, le projet est examiné en deuxième lecture depuis mercredi. Voulu par Nicolas Sarkozy, il prévoit notamment de sanctionner le téléchargement illégal par une suspension de l’accès internet du contrevenant.
"Je suis hostile au volet répressif du projet de loi. Internet est une grande médiathèque universelle. Il faut organiser son ouverture plutôt que de mettre en place ce système de flicage inefficace que les vrais pirates du web vont réussir à contourner", avait déclaré M. Enjalbert à l’AFP.
L’élu est proche du député Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République), vivement opposé au projet gouvernemental. Il s’est déclaré favorable à la licence globale, "système de cotisation payée avec l’abonnement internet qui permet de rémunérer les artistes", avait-il dit.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Intervention sur BFM Radio
28/04/2009 21:48
Nicolas Dupont-Aignan était l’invité du 12/15 sur BFM Radio. Le président de DLR a profité de cette occasion pour rappeler que le 7 juin prochain auront lieu des élections capitales pour l’avenir de notre pays, brisant ainsi le voile du silence que les grands partis politiques souhaitent jeter sur ce scrutin.
En effet, sondages, journaux, leaders politiques... rares sont ceux qui osent parler des européennes. La raison de cette gêne est très simple : les ténors de la pensée unique ont construit cette Europe qu’ils prétendent aujourd’hui vouloir changer.
| |
|
|
|
|
|
|
|
L’hypocrisie socialiste sur l’Europe
28/04/2009 21:41
La semaine dernière, le parti socialiste a lancé sa campagne pour les élections européennes. L’occasion pour Martine Aubry de plaider pour une « autre Europe », une « Europe un peu (sic) moins sauvage » et de demander aux Français de les aider pour décrocher une majorité au parlement européen en juin. Une hypocrisie politique
Le Parti Socialiste a trouvé son credo : dénoncer l’Europe libérale du PPE, le Parti Populaire Européen, et rejeter sur la droite la responsabilité de la crise économique. Mais cette grosse ficelle est bien abusive. Il faut savoir que depuis trente ans, le PSE et le PPE dirigent ensemble le parlement européen puisque les deux principaux groupes parlementaires se partagent la présidence du Parlement deux ans et demi chacun, préférant leur monopole à une « concurrence libre et non faussée ».
Mieux, le Parti Socialiste affirme qu’il faut voter pour lui afin de remplacer l’actuel président de la Commission Européenne, Juan Manuel Barroso, alors que les deux principaux leaders de gauche en Europe, Gordon Brown et José Luis Zapatero, lui ont apporté son soutien. Mieux, la perspective d’une majorité de gauche en juin 2009 est complètement illusoire quand on sait que dans la plupart des pays (Allemagne, Grande-Bretagne, Italie…), la gauche est largement derrière la droite. Une hypocrisie économique
Mais cette immense hypocrisie politique est doublée d’une incroyable hypocrisie économique. En effet, comment le Parti Socialiste Français peut-il se désolidariser des choix économiques européens faits depuis 25 ans ? N’a-t-il pas majoritairement soutenu l’Acte Unique, le traité de Maastricht, le traité de Nice, le Traité Constitutionnel Européen puis le traité de Lisbonne ? Tous ces traités ont obtenu une très large majorité des suffrages des élus du PS.
Et ce sont ces traités qui ont fait avancer la déréglementation dans tous les domaines, qui ont rendu le pouvoir monétaire indépendant des politiques. Ce sont ces traités qui ont tenté de faire de la « concurrence libre et non faussée » un objectif de l’Union Européenne. Ce sont ces mêmes socialistes qui ont accepté la libéralisation des anciens services publics sous Lionel Jospin. Bref, les socialistes sont largement co-responsables du bilan calamiteux de l’Europe.
Il est relativement habile de chercher à faire croire qu’en votant pour le PS, les Français pourraient changer la direction d’une Europe que les socialistes n’ont pourtant pas cessé de soutenir depuis un quart de siècle. Mais pour vraiment la changer, il vaut mieux éviter le bulletin à la rose.
Source : http://changerleurope.fr/le-meeting-de-toulouse-lance-la-campagne-des-europeennes-pour-le-ps/
http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/04/25/a-toulouse-mme-aubry-plaide-pour-une-europe-moins-sauvage_1185386_3214.html
| |
|
|
|
|
|
|
|
Le régime des partis
28/04/2009 21:31
Les déplacements de campagne se succèdent sans interruption.
Hier, j’ai rencontré à Grenoble les ouvriers de Caterpillar confrontés à un plan social de 600 licenciements pour une entreprise qui a fait 3 milliards 500 millions de bénéfices en 2008.
Une fois de plus une multinationale décide de délocaliser. Une fois de plus les autorités sont impuissantes. Une fois de plus les syndicalistes traitent les hommes politiques de simples pions.
C’est pourquoi aujourd’hui, à l’Assemblée Nationale, j’avais décidé, bénéficiant d’une question d’actualité d’interroger le gouvernement sur les causes des délocalisations et l’urgente obligation d’un protectionnisme raisonné. En effet, c’est la seule solution pour compenser le décalage de conditions sociales et environnementales qui entraîne obligatoirement les entreprises à fuir l’Europe.
Mais, une fois de plus, les Députés non-inscrits ont été méprisés par le Président de l’Assemblée qui, comme toujours, place leur question en dernière position de passage, afin que nous nous exprimions devant un hémicycle à moitié vide quand la télévision est partie.
NDA
J’ai donc refusé de poser ma question et j’ai dit clairement au Président de l’Assemblée Nationale combien son attitude était incorrecte. Nous sommes tous des Députés de la Nation et nous n’avons pas à subir ce mépris du régime des partis.
Il est en effet inacceptable que les Députés non-inscrits ne bénéficient même pas d’un temps de parole proportionnel à leur nombre et qu’ils soient toujours obligés de batailler pour être respectés.
Le Président de l’Assemblée Nationale devrait être le Président de tous les Députés et non pas celui de l’UMP !
Commentaire de manéthon (28/04/2009 21:32) :
Nous ne sommes plus en démocratie mais en Sarkocrassie
là est toute la nuance.
|
Commentaire de caton l\'ancien (28/04/2009 21:34) :
L'asservissement des godillots au prince n'est pas une
nouveauté.
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
Hôpital public : oui à la réforme, non à la casse
28/04/2009 21:12
COMMUNIQUE DE PRESSE
UNE THERAPIE DE "CHOC" QUI RISQUE DE CASSER L’HOPITAL PUBLIC
L’hôpital public est malade d’inertie et de déficits depuis de trop nombreuses années. Il est donc nécessaire d’effectuer des réformes. Mais pas n’importe quelles réformes !
C’est la raison pour laquelle les professionnels de l’hôpital - et notamment ceux qui ont toujours soutenu et appuyé la nécessité d’un changement - ressentent aujourd’hui une volonté de mise au pas qui ne saurait correspondre à un traitement efficace des maux de l’hôpital tels que nous les connaissons aujourd’hui. Les professionnels y voient au contraire une volonté consciente ou inconsciente de transformation de l’hôpital en une entreprise traditionnelle, dans laquelle les directeurs seraient des managers très logiquement préoccupés par le seul équilibre des comptes à court terme.
Or, la co-gestion intelligente de l’hôpital - entre les médecins et soignants d’une part, et les gestionnaires d’autre part - est une nécessité absolue. Elle semble pourtant aujourd’hui clairement remise en cause.
Les syndicats de médecins hospitaliers, loin de défendre la position corporatiste de ceux qui ne veulent rien changer, souhaitent simplement sauvegarder cette indispensable co-gestion, et plaident en conséquence pour le vote d’amendements raisonnables à la la loi hospitalière actuellement en discussion devant le Parlement.
Ils doivent être entendus.
A défaut, le gouvernement et la majorité prennent le risque de voir s’installer durablement la démotivation, et bientôt le rassemblement de tous dans un front du refus stérile et désastreux.
De manière générale, la réforme de nos structures publiques ne doit et ne peut se faire au pas de charge. Elle ne peut se faire sans les magistrats, sans les professeurs, sans les médecins et sans les personnels hospitaliers.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essone Président du rassemblement gaulliste Debout la République
| |
|
|
|
|